La Victoire : Yom Haatsmaout

Yom Haatsmaout

Plus de sept cents personnes se sont réunies autour de M. Yossi Gal, Ambassadeur d’Israël en France, de M. Joël Mergui, Président du Consistoire de Paris et du Consistoire Central, du Grand Rabbin  de Paris M. Michel Gugenheim et du Rabbin de la communauté M. Moshé Sebbag  pour commémorer yom hazikaron et fêter yom haatsmaout à la Grande Synagogue de la Victoire ce lundi 15 avril.


Après les prières de minha et la lecture du message de bienvenue de M. Jacques Canet,  Président de la communauté, le Général Doron Gavich , Directeur Général de la Mission Européenne du Ministère Israélien de la Défense et Le Colonel Houdi Lahav, Attaché militaire d’Israël en France, ont allumé une bougie  à la mémoire des soldats morts au combat et des victimes du terrorisme.


A suivi un discours de Monsieur l’Ambassadeur Yossi Gal qui, après avoir remercié le Consistoire et la communauté de la Victoire d’avoir organisé cette célébration, a évoqué la prodigieuse vitalité d’Israël et son évolution spectaculaire.


M. Yossi Cherqui, Rabbin du Centre  Edmond-Fleg, a lu un témoignage sur le Lieutenant Aharon Kérov, grièvement blessé au champ de bataille.


Après un vibrant el maalé Ra’hamim chanté par M. Adolphe Attia, Ministre officiant, M. Avrami a récité le kaddish pour son frère mort au combat en 2011.


Dans son discours, M. Joël Mergui a notamment souligné les liens étroits unissant la communauté juive de France à Israël, liens concrétisés aujourd’hui par un nombre grandissant de lieux célébrant Yom Hatsmaout et faisant tous salle comble.


M. le Rabbin Sebbag a ouvert les festivités de Yom Hatsmaout par un discours où il a insisté sur l’absolue responsabilité de l’individu envers le groupe et du groupe envers l’individu et a rappelé la priorité absolue accordée en Israël à chacun de ses enfants, priorité dont l’illustration la plus récente a été la libération de Guilad Shalit.


Après la prière pour Israël, M. le Grand Rabbin Gugenheim a évoqué le rapport indissociable entre Judaïsme et Sionisme et l’attachement de la communauté à l’Etat d’Israël.


La cérémonie s’est terminée par l’Hatikva et la Marseillaise chantées à l’unisson par toute l’assemblée.


C’était alors le moment pour tous de se restaurer de bons falafels et de danser au son de l’orchestre jusqu’à tard dans la soirée avant de se dire à l’année prochaine.