Le Président a assisté au concert exceptionnel organisé par la Communauté de Neuilly au bénéfice du Gan de Neuilly, en présence de Ishtar Alabina, Enrico Macias et frères Nacash, qui ont leurs enfants ou petits-enfants dans ce Gan. Etaient également présents Philippe Besnainou, Président de la communauté de Neuilly, le rabbin Michaël Azoulay, Alberto Gabaï et Philippe Meyer, Vice-présidents du Consistoire de Paris.

L’ACIV inaugurait le jour de Pourim, le Centre Esther Sidi du nom d’une des plus belles figures de la communauté de Villejuif. Née dans une famille pratiquante et sioniste de Pologne décimée par la Shoah, Esther Sidi a permis l’installation et la création de la communauté grâce à une aide et un soutien logistique et humain sans faille aux réfugiés d’Afrique du Nord. En 10 ans, la communauté s’est développée, grâce au concours des élèves de l'école rabbinique dont le futur Grand Rabbin de France Joseph Sitruk, qui y a séjourné les premiers mois de son mariage.

Grande mécène du peuple juif en France comme en Israël, la mémoire de Mme Esther Sidi a été honorée par le président de la Communauté M. Jean Méchali, ses deux fils Joël et Daniel Sidi, M. David Tibi président du CCJ 94 et par le président du Consistoire M. Joël Mergui qui a participé sous la neige au dévoilement de la plaque inaugurale en soulignant toute la grandeur des femmes d’Israël qu’incarne Esther Sidi.

A la suite du courrier adressé au Président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) concernant le traitement médiatique de l’affaire Merah par Mes Klugman, Goldmann et Korchia, avocats de Monsieur Samuel Sandler, père et grand-père de victimes de Mohamed Merah, Ariel Goldmann et  Elie Korchia ont été reçus par Monsieur Olivier Schrameck, Président du CSA ce jeudi 28 février 2013.

L’Aumônerie Israélite des Hôpitaux de France  n’a  pas oublié nos sœurs et frères hospitalisés qui se trouvent  loin de leur famille, loin de la synagogue.Une lecture de la Meguila  a été organisée et plus de 500 Michloah Manot - en partenariat avec Matanael - furent  distribués par les Aumôniers Israélites Hospitaliers,  le jour de Pourim dans les principaux hôpitaux et cliniques de Paris et de France, ce qui a permis d’associer aux Mitsvot de Pourim de nombreux coreligionnaires.

La communauté de Chasseloup Laubat a organisé à l’occasion de Pourim un michté, ainsi qu’un spectacle pour enfants avec concours de déguisements. Une soixantaine d’enfants accompagnée de leurs parents ont assisté à ce michté. Tout le monde a été ravi d’avoir passé une bonne après midi et particulièrement les enfants qui sont repartis avec de nombreux cadeaux et le traditionnel michloah manot. A l’année prochaine si D   veut….pour d’autres aventures !

Réunie à 9h00 ce jour de Pourim, traditionnellement considéré comme la majorité religieuse du peuple juif, la Communauté de Saint-Ouen l'Aumône a eu la joie de célébrer, en plus de l'office avec l'habituelle lecture de la Méguila d'Esther, la Bar Mitzvah du petit fils de notre Président d'honneur.
Cette première pour notre Communauté a drainé une nombreuse assistance qui a su unir comme il convient ces deux liesses, rarement associées. L'après-midi a réuni une petite vingtaine d'enfants répartis dans divers ateliers organisés par notre responsable jeunesse. Une journée qui demeurera dans toutes les mémoires, tant enfantines que chevronnées !

Cet événement, comme chaque année, a connu une affluence remarquable : nous nous serions crus à Kippour en fin d’ après-midi, à tel point que certains ont dû rester debout – debout mais heureux ! Lecture par notre Grand Rabbin Olivier Kaufmann de la Meguilat Esther, interrompue comme il se doit, à l’évocation du nom de Haman, par des bruits divers et variés : crécelles, battements de pieds, etc.

Les cinq volumes des Topiques tracent ainsi une perspective sur notre monde qui est pleinement ancrée dans le judaïsme. Ils abordent toutes les problématiques, traditionnelles ou extrêmement actuelles, auxquelles nous sommes tous, en tant qu’homme, confrontés. De ce fait, les Topiques sinaïtiques formule une pensée forte, très évidemment ancrée dans la tradition juive, mais dans un constant désir de dialogue avec les autres traditions (religieuses, laïques, philosophiques voire idéologiques).

S’appuyant sur l’histoire vraie de son grand-père qui quitta, seul, le Maroc, à 14 ans, pour se rendre à pied jusqu’à Oran, en Algérie, avant d’espérer atteindre un jour Jérusalem, ce récit se déroule sur plusieurs générations, avec en toile de fond, la 2e guerre mondiale, la guerre d’Algérie ou les événements de mai 68. Il met en scène des situations émouvantes ou folkloriques dans une saga familiale épique où la souffrance de l’exil et le désir d’enracinement animent ses héros.