2 octobre 2013 - 28 tichri 5774
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19h30 : SALONS DES ESSELIERES - VILLEJUIF
Diner républicain du CCJ 94 sur le thème "La place des religions dans une société laïque"

 
       
  19h30 : SYNAGOGUE DU BLANC MESNIL
Conférence : "Massacres en Syrie : le regard de juifs originaires de Damas"
 
       
  SYNAGOGUE DE TOULOUSE
Clôture des fêtes de Tichri
 
       
     
   
 
 

19h00 : ECOLE L'ALLIANCE - GEORGES LEVEN
30 Boulevard Carnot – 75012 Paris
Conférence sur la Cacherout en présence du Grand Rabbin de Paris, Michel Gugenheim et de Rav Shimon Dahan, responsable des choh'atim

 
       
     
   
 
 


Chabbat des jeunes et étudiants

 
       
  21h00 : CENTRE EDMOND FLEG - PARIS 6
Mélavé Malka pour célibataires
 
     
   
 
 

SYNAGOGUE DE CAEN
Journée Portes Ouvertes

 
       
  SEMINAIRE RABBINIQUE - PARIS 5
Cérémonie des Talmudé Torah
 
       
 

10h00 : FSJU
Séminaire des dirigeants communautaires sur le thème : "Présentation de l’ensemble des institutions sociales de la communauté par leurs dirigeants respectifs"
 
       
  13h30 : SEMINAIRE RABBINIQUE - PARIS 5
Convention Nationale de la Hazac
 
       
  14h00 : EVRY - HOTEL DU DEPARTEMENT DE L'ESSONNE
Rencontre Imams - Rabbins
 
       
  17h00 : SYNAGOGUE BUFFAULT - PARIS 9
Concert de la Chorale Juive de France au profit de l'association Tsedek
 
       
  19h30 : SYNAGOGUE DE VINCENNES
Conférence : "Existe-t-il encore une jeunesse juive en France ?"
 
       
  20h00 : CENTRE COMMUNAUTAIRE DE STRASBOURG
Concert du groupe Rachel Matsas, musique juive et grecque
 
       
     
   
 
 

 

 

 

GRANDE SYNAGOGUE DE NICE
Conférences
"La nature en héritage : le respect de l’écosystème au sein de la pensée juive et de sa tradition"
"La nature vue par le Talmud", par le Pr Paul Kammoun, Astro-physicien et le rabbin Yona Ghertman
"La nation juive et son rapport à la terre" par Avi Vanwetter, Pr d’histoire
"La renaissance de l’agriculture juive qui précède la naissance du mouvement sioniste" par le Pr Nathan Weinstock, historien.
"Le sens de la parole : point du vue théologique et religieux" avec le Pr Patricia Trojman et le rabbin Joseph Abittan

 
       
  19h30 : CONSISTOIRE DE PARIS
Diner des Présidents des Communautés Autonomes
 
       
  20h30 : CENTRE COMMUNAUTAIRE DU KREMLIN BICETRE
"L'exode des juifs marocains" - Expo, film, conférence, concert
 
       
     
   
 
 

11h00 : CONSISTOIRE CENTRAL
Rencontre avec les dirigeants de la communauté de Sao-Paulo

 
       
  SYNAGOGUE LA ROQUETTE - PARIS 11
Conférence : "Le sens de la parole dans la guerre des moulins de Cervantès"
 
       
  20h00 : SYNAGOGUE DE VILLEJUIF
Conférence de Moïse Sibony : "Le temps dans le judaïsme"
 
       
  20h00 : SYNAGOGUE DE MASSY
Conférence de Frédéric Encel : "Le sens de la parole médiatique : Le Proche-Orient après la crise syrienne"
 
       
     
   
 
 

18h30 : SYNAGOGUE LA ROQUETTE - PARIS 11
Cérémonie des Mariés de l'année

 
       
  SYNAGOGUE D'ANTONY
Conférence : "La corruption de la Parole : de la médisance à la désinformation"
 
       
     
   
 
 

LILLE
Conférence inaugurale de l'année culturelle de la communauté, par le Rav E. Dahan

 
       
  14h00 : LA GRANDE MOTTE
Film et conférence sur la colonie des enfants réfugiés de l'Hérault. Exposition "Policiers et gendarmes, Justes parmi les nations"
 
       
  19h30 : CENTRE EDMOND FLEG - PARIS 6
Rassemblement des étudiants avec présentation des « projets Etudiants » issus du Congrès
 
       
  20h00 : CONSISTOIRE DE PARIS
Réunion des convertis de l'année
 
       
     
   
 
 

SYNAGOGUE D'AIX EN PROVENCE
Chabbat communautaire - Voeux aux Institutions

 
       

 

 
 
 
    Concert de Piyutim (Poèmes liturgiques)  
 

Hier soir, 1er octobre 2013, avait lieu dans la synagogue de Chasseloup-Laubat à Paris 15e, devant un auditoire enthousiaste de plus de 200 personnes, le concert de Pyutim organisé en ouverture des Dix jours du Consistoire.

 
 

Le Pr. Moïse Sibony, auteur de nombreux ouvrages sur le Judaïsme, dont l'un récent consacré aux "Pyutim", a introduit la soirée par une présentation des concept de PYUT (poésie liturgique) et de Qetzidah (complainte, élégie) et leur développement à travers l'histoire des communautés juives. Il a également analysé certains poèmes comme les fameux "Chokheneth bassadé", "Nichmat"..., chantés dans les synagogues ou lors de cérémonies de mariages, avant le début du concert donné par nos prestigieux cantors, Albert Bouhadana, officiant de la synagogue Chasseloup-Laubat, et Philippe Darmon, officiant à la synagogue de Buffault. Ce duo était complété par les deux jeunes prodiges, Franck Amsellem et Michaël Darmon ; l'accompagnement musical étant assuré par la célèbre pianiste, Emmanuelle Souffan.

Comme en a attesté l'applaudimètre, succès énorme pour ce quatuor auprès du public dont une grande partie, fins connaisseurs des Pyutim, n'a pu résister à l'envie de fredonner les airs les plus connus avec nos cantors. Un grand bravo également à Claude Hadad, Président de la communauté Chasseloup-Laubat, pour son accueil chaleureux et son apport précieux à l'organisation de ce magnifique concert !

 
     
 
 
 
     
 
 
 
LA HEVRA KADICHA
 
     
 

Pour le judaïsme, le décès est un passage. Au moment de la mort d’un proche, on récite la bénédiction suivante :

« Barou’h ata Hachem, Elokénou méle’h haolam dayan haèmèt »
Béni sois-Tu Eternel, notre D.ieu, Roi de l’univers, juge de vérité.

C’est la bénédiction qui célèbre le passage de la vie à la mort. Avec la ‘Hévra Kadicha, « assemblée » d’accompagnateurs, de passeurs, le Consistoire propose l’encadrement religieux adéquat pour accompagner les défunts.

Qu’est-ce que la ‘Hevra Kadicha ?
‘Hevra Kadicha est une expression araméenne qui signifie : la sainte assemblée. Elle désigne l’ensemble des personnes, hommes et femmes, qui officient dans la préparation et l’organisation de l’inhumation. Pour postuler à la ‘Hevra Kadicha, il faut être pratiquant et résolument tourné vers les autres. Cette mitsva est surnommée ‘hessed chel émet : « bonté de vérité ».

Quels sont les premiers gestes au moment du décès ?
À l’heure où l’euthanasie fait débat, nous considérons qu’il faut respecter la vie jusqu’au bout : rien, ni personne, ne doit accélérer l’arrivée de la mort. Quand on sent que la personne approche de la fin, on lui fera réciter le Chéma Israël ou le psaume 91.

Voici les premiers gestes :
- Fermer les yeux et la bouche du défunt
- Cacher le visage
- Etendre les bras le long du corps, les mains ouvertes
- Recouvrir le corps d’un drap
- Allumer une bougie ou une veilleuse au chevet du défunt
- Couvrir les miroirs
- Lire les psaumes en hébreu (à défaut en français) à son chevet
- Appeler le Service de la Hevra Kadicha du Consistoire
- Appeler les pompes funèbres de votre choix et assurez-vous qu’elles fassent appel au Consistoire de Paris aussi bien pour la tahara (toilette) que pour l’inhumation.

En quoi consiste la toilette rituelle ?
Cette toilette (ré’hitsa) prépare le corps pour sa résurrection future. On parle également de purification (tahara). Pour cela, le corps est lavé selon un certain cérémonial durant lequel des versets bibliques sont récités, lors d’ablutions. Puis le corps est revêtu d’un linceul. Les hommes sont en plus recouverts du talit, dont on aura retiré un tsitsit (frange rituelle).
Attention : Cette toilette répond à des règles précises. Elle doit être réalisée par des personnes habilitées et agréées par le Beth-Din de Paris. Assurez-vous donc auprès des pompes funèbres que le Consistoire a été prévenu.

Quel est le sens du Kadich et des veilleuses ?
Les veilleuses sont des lumières contre l’oubli. Elles sont allumées dans les synagogues pour perpétuer le souvenir de ceux qui nous ont quittés. A défaut de bougies, certaines possèdent un tableau d’allumage électrique avec une plaque comportant le nom du défunt. Les personnes sans héritiers peuvent charger le Consistoire de s’occuper de leur enterrement, de rappeler chaque année leur nom et de faire réciter un Kadich en leur mémoire dans les différentes synagogues. Le Kadich est l’une des mitsvot essentielles des endeuillés : pendant les sept jours du décès, ainsi que pendant le mois et l’année de deuil, selon le degré de parenté, l’endeuillé récite le Kadich en présence d’un minian (quorum de dix hommes).

Que fournir au service ‘Hevra Kadicha du Consistoire de Paris ?
La famille endeuillée doit fournir l’attestation du décès, les coordonnées des Pompes Funèbres, la date et l’heure du départ du lieu où se trouve le cercueil (domicile ou hôpital) et enfin l’heure de l’enterrement au cimetière. La famille peut s’adresser à l’entreprise de pompes funèbres de son choix, agréée par les services du Consistoire de Paris, pour l’organisation des obsèques. Le Consistoire de Paris dispose de plusieurs équipes qui se déplacent à Paris, en région parisienne, jusqu’à un périmètre de 200 km autour de la capitale. Il peut ainsi aider des petites communautés démunies de structures adéquates.

Quelle est l’action du Consistoire dans ce domaine ?
En dehors de nos équipes qui se déplacent pour aider les endeuillés, le Consistoire de Paris vous fournit :
- La liste des rabbins de la région,
- La liste des cimetières où se trouve un carré juif
- La liste des veilleurs qui peuvent lire les psaumes jour et nuit
- L’équipe qui réalisera la toilette religieuse (hommes pour homme, et femmes pour femme).
- Le nom du défunt est systématiquement récité durant l’année de deuil, durant les offices du Chabbat et des fêtes, dans la communauté du défunt.
- On peut placer une plaque, au nom du défunt, sur le panneau du souvenir d’une synagogue consistoriale.
Le Consistoire de Paris remet aux familles en deuil, un livret rédigé par le Grand Rabbin Michel Gugenheim, dans lequel sont mentionnées les dispositions de la loi juive (halakha) s’y afférant.
Le Consistoire de Paris est à la disposition des familles pour organiser un minian et tous les offices nécessaires.

Qu’en est-il de l’incinération ?
L’incinération est interdite. Elle ne coïncide pas avec la vision du judaïsme sur la mort et sur ce qui reste du défunt. Car sans ces restes, l’âme du défunt ne pourra ni avoir accès au Monde Futur, ni à la résurrection des morts. En conséquence, le Consistoire ne procédera pas à la purification rituelle, ni n’enverra de rabbin, dans ce cas de figure.

Hevra Kadicha
Tél. : 01 40 82 26 90 - email : hevra@consistoire.org

 
     
 
 
 
 

Où siégeait le Consistoire Central durant la Seconde Guerre Mondiale ?

(Réponse dans la prochaine newsletter)

 
 

Question du 1er octobre : Quelle est la plus ancienne synagogue de Paris ?

Réponse : Nazareth (Paris 3e), construite en 1822 et dont le terrain a été acquis en 1818.

 
     
 
 

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