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Agrandissement de l’école
Yaguel Yaacov de Montrouge
C’est
dans une Synagogue pleine que le Rabbin Jacob MERGUI, le Président
Joël MERGUI et le Président de la Synagogue Frédéric
SCHWARTZ ont accueilli les fidèles qui ont tenu à
honorer le Rabbin Jacob MERGUI, fondateur avec son fils, de la
première école juive consistoriale créée
en 1991.
De
nombreuses personnalités se sont succédées
à la tribune : le Président du Conseil Général
des Hauts de Seine, Patrick DEVEDJIAN, le Maire de Montrouge,
Jean-Loup METTON, le Grand Rabbin de France, Gilles BERNHEIM,
le Grand Rabbin de Paris, David MESSAS, le Président du
FSJU, Pierre BESNAINOU, l’Ambassadeur d’Israël,
Son Excellence Monsieur Daniel SHEK.
Le
Président Joël MERGUI a rappelé que cette Cérémonie,
à laquelle les enfants de l’école ont participé
avec bonheur, était dédiée à la mémoire
de Yohan ZERBIB, qui faisait partie des premiers élèves
de l’école et qui est tombé à la fin
de la guerre du Liban en 2006.
Cet
après-midi émouvante s’est terminée
par le dévoilement de plaques inaugurant les nouvelles
classes »
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© Photos
Alain Azria |
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Nouvelles technologiques d'Israël
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Le
Président de l’Etat d’Israel a offert la Nano
Bible du Technion au Pape Benoît XVI
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Le
président israélien Shimon Pères a offert
au pape Benoît XVI, en visite en Israël, un Ancien
testament que des scientifiques locaux ont mis sur une puce électronique
en silicium de la taille d’une tête d’épingle,
a annoncé vendredi son bureau. |
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“La
Bible, en hébreu, a été gravée sur
une puce de 0,5 millimètres carrés par des scientifiques
du Technion, l’Institut israélien de Technologie.
Le président israélien a présenté
le texte de 308.428 mots au souverain pontife à son arrivée
en Israël lundi, dans le cadre de sa tournée de
huit jours en Terre sainte, selon un communiqué”.
La
puce est placée dans un boîtier en verre équipé
d’une loupe. Elle est accompagnée d’explications
techniques en hébreu et en anglais sur la nano Bible,
et des 13 premiers versets du Livre de la Genèse agrandis
10.000 fois. Shimon Pères est un féru de nanotechnologie,
qu’il considère comme un des moyens de résoudre
les problèmes de sécurité dans le Monde
et avait inaugurer il a 3 ans le Centre ‘Russel Berry’
des nanotechnologies au Technion présidé par le
Professeur Uri Sivan.
(technionfrance.org)
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Découverte
capitale dans le domaine des applications biologiques dans la lutte
contre le cancer |
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Prof. Yoram Reiter |
Des
chercheurs au Technion ont développé une méthode
permettant de prédire et de contrôler la capacité
du système immunitaire à agir contre les cellules
cancéreuses.
A l'aide de l’ordinateur, les chercheurs ont pu identifier
la combinaison de globules blancs la mieux adaptée pour
lutter contre la maladie; cette étude a été
reconnue par les éditeurs du prestigieux journal «Science»
comme étant d’importance considérable dans
le domaine de la biologie des systèmes. Des chercheurs
au Technion, en collaboration avec le centre médical «Sheba»,
ont réussi à mettre en œuvre une méthode
novatrice permettant de prédire la capacité des
globules blancs à agir contre les cellules cancéreuses. |
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Cette
méthode offre de nouvelles voies thérapeutiques
permettant d'influer sur la réaction des malades et de
la rendre plus efficace. Cette recherche est publiée
dans le dernier numéro de la revue scientifique «Molecular
Systems Biology» et fait partie du «choix de la
rédaction» du prestigieux journal «Science».
L'utilisation de cette nouvelle méthode en laboratoire,
sur un échantillon de 12 patients souffrant de cancer,
a eu pour effet d'améliorer le fonctionnement des globules
blancs des patients dans 10 cas. «Ces dernières
années, plusieurs groupes dans le monde ont développé
des approches thérapeutiques novatrices relevant de l'immunothérapie
contre le cancer», explique le Professeur Yoram Reiter
de la faculté de biologie au Technion.
«Dans
cette approche, les chercheurs et les médecins prélèvent
auprès des patients des globules blancs produits par
le propre corps de ces patients en réaction aux cellules
cancéreuses. On les cultive jusqu'à obtenir un
très grand nombre de cellules, puis on les réinsère
dans le corps des patients pour renforcer leur système
immunitaire. Mais chez la plupart des patients, ces globules
blancs, initialement extraits à partir de leurs tumeurs,
n'ont pas d'effet particulier sur les cellules cancéreuses;
le mécanisme qui détermine l'efficacité
de la réaction de ces globules blancs est inconnu.»L'étudiant
en doctorat Kfir Oved a soulevé une nouvelle hypothèse:
la population de globules blancs se composant d'un très
grand nombre de sous-populations qui interagissent entre elles,
le facteur déterminant l'activité de ces cultures
de globules blancs contre les tumeurs serait peut-être
la combinaison précise de sous-populations dans ces globules.
Ces sous-populations disposent chacune d'une «carte d'identité»,
composée d'un grand nombre de marqueurs protéiniques
situés sur la surface des globules blancs. Sous la direction
du Dr. Jacob Shachter et du Dr. Michal Besser, et en collaboration
avec l'institut Ella pour la recherche sur les mélanomes
au centre médical Chaim Sheba à Tel Hashomer,
Kfir Oved a accumulé des informations sur plus de 60
marqueurs différents, pour tenter de localiser ces sous-populations.
Chaque sous-population de globules blancs pouvant présenter
une différente combinaison de marqueurs, le nombre de
possibilités est astronomique. Il n'est possible de manipuler
et d'analyser une telle quantité de données qu'à
l'aide des sciences informatiques.Cette étude rassemble
une équipe de chercheurs expérimentés en
biologie des systèmes et en bioinformatique: les étudiants
en doctorat Eran Eden de l'Institut Weizmann et Martin Ackerman
du Technion, ainsi que le Dr. Yael Mendel-Gutfreund de la faculté
de biologie au Technion et le Professeur Uri Alon de l'Institut
Weizmann.
Eran Eden et Kfir Oved ont élaboré des algorithmes
pour identifier les traits communs dans les cultures qui ont
réagi aux tumeurs cancéreuses. L'ordinateur a
réussi à identifier une «carte d'identité»
ou «signature» unique comprenant 5 à 7 marqueurs.
Selon la présence ou l'absence de ces marqueurs à
la surface des globules, il est possible de prédire s'ils
vont réagir à la cellule cancéreuse. La
plupart des marqueurs ont une activité biologique liée
à la capacité de ces cellules immunitaires à
réagir contre les cellules cancéreuses.
A l'aide des algorithmes élaborés par les chercheurs
au Technion, 90 échantillons ont été prélevés
chez 26 patients; dans plus de 90% des échantillons,
l'ordinateur a réussi à prévoir si la culture
réagirait ou non contre la tumeur. Les chercheurs ont
aussi réussi à extraire de la culture les cellules
ayant eu un effet négatif, et ont multiplié celles
dont l’effet était positif. Chez dix patients sur
les douze participant à l'essai, les cultures non-efficaces
ont été transformées en cultures efficaces
contre les cellules cancéreuses.«Il s'agit d'une
découverte capitale dans l'application de la biologie
des systèmes et de la bio-informatique à la compréhension
de processus biologiques complexes», explique le professeur
Reiter. «Nous allons breveter cette méthode et
explorer ses applications médicales possibles».
L'institut Ella pour la recherche sur les mélanomes au
centre médical «Chaim Sheba» à Tel
Hashomer a déjà mis en application, dans 30 cas,
l'idée d'étendre et de renforcer les globules
blancs propres aux patients, et a obtenu quelques résultats
prometteurs. Ces nouvelles découvertes pourront être
appliquées dans des essais cliniques futurs.
(technionfrance.org)
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