16 décembre 2009  
 

 
     
  Hanouka avec les Services éducatifs du Consistoire de Paris  
 

Enfants, Rabbins, directeurs, professeurs de tous les Talmud Torah du Consistoire de Paris ainsi que des Talmud Torah associés au Consistoire ont célébré Hanouka – Ce sont 2500 enfants qui ont appris l'histoire de Hanouka au travers de 3 heures de spectacle époustouflant dans un cirque loué pour l'occasion !
Une troupe de comédiens professionnels ont refait vivre l'histoire des Makabim, la fiole d'huile, les différents miracles de Hanouka qui ont eu lieu le 25 kislev il y a 2000 ans... Des jongleurs, des éléphants, des clowns ont fait de leur mieux pour retracer cette période cruciale du peuple juif.
Un orchestre de 12 musiciens a accompagné les acteurs et un chanteur de grand renom est venu chanter quelques "tubes" Hassidiques du moment pour le plus grand plaisir des enfants.
Le Président Joël Mergui, le Grand Rabbin de Paris David Messas, Messieurs Jack-Yves Bohbot et David Amar entouraient le Directeur des Services Educatifs M. Méïr Moaty.

 
   
     
 
 
     
  Hanouka intercontinental géant  
 
Le Président Joel Mergui et le Grand Rabbin de Paris David Messas ont pris part à l’allumage de la 3ème bougie de Hanouka au champ de Mars le 13 décembre organisé par le mouvement Loubavitch – cet allumage a été précédé d’un concert.
 
 
 
     
 
 
     
 
Rencontre avec Monsieur Ariel ATTIAS, Ministre Israélien du Logement
 
 

Le Président Joël MERGUI et le Grand Rabbin de Paris David Messas ont reçu Monsieur Ariel ATTIAS, Ministre Israélien du Logement le mercredi 9 décembre 2009 au Consistoire de Paris.

Cette rencontre très conviviale a permis de mettre au point les relations futures entre le Consistoire de Paris et Israël concernant notamment la Cacherout, les mariages, et les inhumations.

 
     
 
 
     
  Journée d'étude du Beth Hamidrach  
 
Le Grand Rabbin de Paris David Messas a initié et présidé une importante journée d’études et de réflexions à l’attention du corps rabbinique de la capitale sur le thème La Conversion au judaïsme, le jeudi 10 décembre 2009. Cette journée s’inscrivait dans le cadre du Beth hamidrach des rabbins de Paris animé par le rav Ariel Messas, en présence du Grand rabbin de France, Gilles Bernheim, du Av Beth Din de Paris, Rav Jermyahu Kohen, du Grand rabbin Michel Gugenheim, du Président Joël Mergui, du chef de service des conversions, le Rabbin Meyer Malka, ainsi que des rabbins travaillant au service des conversions : le Rabbin Yves Marciano, le Rabbin David Elfassy, le Rabbin Maurice Cohen.
 
 
 
     
 
 
     
  Prix Ilan Halimi  
 

A l’initiative du FSJU, le Prix Ilan HALIMI, Prix de la Tolérance et de la Fraternité, a été attribué le mercredi 2 décembre 2009 par le Président Jacques CHIRAC, en présence de Madame Ruth HALIMI.

Le Président Joël MERGUI, et les Grands Rabbins de France et de Paris, ainsi que de nombreuses personnalités ont assisté à cette manifestation empreinte d’émotion et de dignité.

 
     
 
 
     
  Commémoration de la Rafle des Juifs de Tunis  
 
La cérémonie commémorative de la Rafle des Juifs de Tunis par les S.S. s’est déroulée le dimanche 6 décembre 2009 au Mémorial de Shoah. Une lecture des noms des déportés de Tunisie et des victimes de la barbarie nazie décédés dans le camps de travail en Tunisie a été donnée et fut suivie de la récitation des prières d’usage.
 
 
De nombreuses personnalités étaient présentes, aux côtés du Président Claude Nataf. Une gerbe a été déposée sur la dalle sacrée par le Président Joël Mergui et le Grand Rabbin de Paris David Messas, au nom du Consistoire de Paris.
 
     
 
 
     
 
Dîner de Gala du Technion
 
 

Madame Muriel Touaty, Directrice du Technion France a organisé le lundi 7 décembre 2009 au Palais Brongniart une soirée de gala célébrant les 85 ans de l’université israélienne.

Cet événement, placé sous le haut-patronage du Maire de Paris, Monsieur Bertrand Delanoe, et de Son Excellence l’Ambassadeur d’Israël, Monsieur Daniel Shek, s’inscrivait sur le thème : « Les défis de la croissance par l’innovation ».

 
 
Le Président Joël Mergui, avaient tenu à être présent à cette prestigieuse soirée où se mêlaient connaissance et émotion.
 
     
 
 
     
 
Ecole Lucien de Hirsch
 
 
Dimanche 6 Décembre a eu lieu l’inauguration du nouveau lycée Lucien de Hirsch dans un bâtiment mitoyen de l’école primaire et du collège, en présence de tous les parents d’élèves de terminales, les enseignants, et les institutions communautaires et rabbiniques dont le Grand Rabbin Gugenheim - Des élus parisiens et le Président de la Région Jean Paul Huchon ont tenu à prendre part à cet évènement, organisé par Jacqueline Bornstein, et Armand Stemmer, membre et président du Conseil d’administration de Lucien de Hirsch. A cette occasion, le président Joel Mergui et le Grand Rabbin de Paris David Messas ont apposé une mezouza.
 
     
 
 
     
  Salon Mazaltov  
 

Le salon du mariage organisé par M. et Mme Taieb, gérant du guide « MAZAL TOV » s’est déroulé le 6 Décembre dernier, à l’hôtel Hilton à Paris.

Un magnifique espace était réservé aux différents exposants et à l’instar des années précédentes, le service des mariages du Consistoire a bénéficié, gracieusement, d’un stand.

 
 
Le Président Joël Mergui, passé dès le matin, a pu remarquer qu'un public nombreux venait se renseigner sur les différentes démarches à accomplir tant pour les mariages en Ile de France qu’en Israël.
Une fois de plus le Consistoire a pu tenir son rôle important d’apporter des réponses aux besoins de notre Communauté.
 
     
 
 
     
  Amitié Judéo-Musulmane de France  
 
Au terme de 5 tours de France et de 5 tours d’Ile de France du bus expo de l’Amitié, le rabbin Serfati a organisé le premier gala de l’AJMF le 8 décembre dans les salons de la mairie du 16ème en présence du rabbin Marc Schneier – président de la «Foundation for Ethnic Understanding» et des sympathisants et amis de l’AJMF.
 
 

Les présidents des 3 organisations fondatrices de l’AJMF, le Grand Rabbin de Paris, le président Joël Mergui, le Dr Richard Prasquier et Mme Kadidja Khali, représentant le Dr Dalil Boubakeur, ont tour à tour rappelé le but de l’AJMF à savoir un dialogue fraternel, une coopération active et amicale, le rapprochement, la connaissance, la compréhension et le respect entre les communautés juives et musulmanes.

Plus de 100 personnes ont pris part à cette soirée de partage et de perspectives, à laquelle assistaient notamment Messieurs Eric de Rothschild, Moise Cohen, Marek Halter, l’imman de Drancy la présidente d’honneur de la chorba, le Secrétaire Général du Congrès Juif Européen.

 
     
 
 
     
 
Chlochim de Monsieur Albert BENBARON zal, Président de la Communauté de Champigny sur Marne
 
 

C’est avec peine que le Consistoire a appris le décès de M. Albert Benbaron, Président de la communauté de Champigny sur Marne.
Le Grand Rabbin de Paris et le Président Joël Mergui étaient présents aux Chlochim de Monsieur Albert BENBARON zal, qui ont eu lieu le dimanche 6 décembre à la Synagogue de Champigny.

 
     
 
 
     
  Décès de Madame Germaine Ghozlan zal  
 
Le Grand Rabbin de Paris David Messas, le Président Joël Mergui et les membres du Conseil ont appris avec tristesse le décès de la mère de Monsieur Sammy Ghozlan, membre du Consistoire de Paris et lui présentent leurs sincères condoléances.
 
     
 
 
 
 
:: Nouvelles d'Israël
 
 
Israël au 4ème rang mondial des publications scientifiques
 

Israël classé au 4ème rang mondial pour ses publications d’articles scientifiques selon les renseignements rassemblés par le Haut Conseil de l’Education.

 
 

Les données, datant de 2005, placent Israël derrière la Suisse, la Suède et le Danemark en termes de nombre de publications scientifiques par million d’habitants.

Le rapport a été communiqué lors d’une conférence à l’Université Bar Ilan le 16 novembre dernier.
En 2005, les scientifiques israéliens ont publié 6309 articles dans des journaux scientifiques étrangers devant la Finlande, les Pays-Bas et le Canada. Les Etats-Unis occupent la 12ème place et l’Allemagne la 15ème.

0.89 % des articles scientifiques publiés en 2005 ont été écrits par des scientifiques israéliens. En 1997, 1.83% des articles mondiaux l’étaient par des Israéliens.

Le scientifique le plus productif et le plus cité est le Professeur Avraham Hershko du Technion, Prix Nobel de Chimie en 2004, selon le rapport. Il a publié 148 articles et fut cité plus de 16000 fois.

Le Docteur Meïr Zadok, directeur de l’Académie des Sciences et Humanités en Israël dit que “le succès scientifique d’Israël est dû aux critères stricts qui évaluent les scientifiques ici ».

« La compétition pour les postes monte en Israël et le processus de promotion est très rigoureux, donc les personnes publient beaucoup pour réussir », dit il. « De plus, il y a des traditions très fortes de qualité dans l’académie israélienne. »
Le Comité de planification et de budgétisation du Haut Conseil de l’Education a mentionné que les nouveaux centres de recherche du monde entier sont intimidés par la position des universités israéliennes.

(Haaretz)

 
   
 
Une première : un bédouin, membre d’un Kibboutz
 
 
Roni Ouvad, un bédouin âgé de 33 ans, rêvait depuis quelques années d’entrer dans un Kibboutz. Son rêve est devenu réalité, il y a quelques semaines, lorsque les membres du Kibboutz Ein HaShofet près de Meggido ont accepté sa candidature ainsi que celle de sa femme Katia à près de 90% des voix.
 
100 ans après la création du premier Kibboutz, Roni devient ainsi le premier arabe de l’histoire à devenir membre à part entière de ce qui est devenu l’un des symboles du sionisme par excellence.

Né dans un village Bédouin de la vallée d’Izréel, Roni a reçu une éducation traditionnelle. Malgré l’opposition ferme de ses parents, il décide de faire son service militaire dans Tsahal (non obligatoire pour les Arabes israéliens) et entre alors en contact avec le Kibboutz Ein HaShofet.

"Déjà très jeune, j’étais actif dans le Mouvement de Jeunesse Ouvrière et Etudiante et j’ai connu des jeunes de mon âge des Kibboutz de la vallée d’Izréel. Je me suis senti très proche d’eux. L’ouverture des membres des Kibboutz m’a tout de suite attiré et j’ai commencé à désirer vivre avec eux. Je ne suis pas un musulman pratiquant mais je célèbre les fêtes juives. Le soir de Pessah, je suis à table avec mes amis et nous fêtons la sortie d’Egypte. "

Selon la procédure du Kibboutz, après un an de travail au Kibboutz, Roni est accepté pour une période de probation. "Avec les années, j’ai senti que c’était ma maison. Je me sens très israélien" explique-t-il.

C’est au Kibboutz qu’il va rencontrer sa femme Katia, une immigrante des pays de l’ex-URSS venue là pour étudier l’hébreu. Ensemble, ils vont peu à peu s’insérer dans la vie du Kibboutz. Ils aujourd’hui deux garçons âgés de deux et quatre ans.

Roni garde de très bonnes relations avec sa famille bien qu’il ait abandonné le mode de vie de son village. Cela n’a pas été très facile pour ses parents d’accepter qu’il ne se marie pas avec une fille bédouine. "Tant que je vais bien, ma famille est heureuse pour moi" conclut le nouveau membre du Kibboutz.


(Yediot Aharonot)

 
   
 
Le médecin indien s’installe en Israël pour honorer les émissaires du Chabad assassinés
 
 
Il y aura un an le 26 novembre que Rivki et Gabi Holtzberg ont été atrocement assassinés à Bombay en Inde. Depuis, de nombreux témoignages ont été publiés sur l’immense héritage et le formidable impact qu’ils ont eu sur les milliers de Juifs qui ont transité par leur foyer Loubavitch.
 
 

Mais, l’une des histoires les plus grandioses à leur sujet ne porte pas sur l’impact qu’ils ont pu avoir dans la vie de voyageurs Juifs américains ou de jeunes baroudeurs israéliens en Asie mais plutôt sur un hindou, le docteur indien Hagirat Prasad.

Il y a encore un an, le docteur Prasad était le directeur de la médecine d’urgence au prestigieux hôpital britannique Kennedy de Bombay. Marié et père de 3 enfants, il vivait dans l’abondance matérielle mais le panthéon des dieux hindous ne remplissait pas le vide spirituel qu’il ressentait.

Vingt ans plus tôt, Prasad avait goûté à quelque chose d’autre en lisant la Bible pour la première fois. Depuis ce temps, il avait soif d’en savoir plus sur le Judaïsme et d’apprendre au sujet du D.ieu unique.

Après que la famille Holtzberg se soit installée dans la maison Loubavitch de Bombay en 2002, le docteur Prasad a commencé à y venir presque tous les jours pour étudier la Torah avec le Rabbin (Rav) Gabi Holtzberg. Avec les années, Prasad a adopté un mode de vie juif et changé son nom en « Aaron Avraham ». Il a considéré le foyer Loubavitch comme une seconde maison et la famille Holtzberg comme une seconde famille.

Il a rappelé cette semaine dans une interview au Yediot Aharonot« J’aimais le Rav Gabi et son épouse Rivka de tout mon cœur. Ils me manquent tellement. »

Le jour de l’attaque terroriste, le Docteur Prasad se trouvait à 800 kilomètres de Bombay.
Quand il a appris l’attentat, il a prié avec des dizaines de milliers de personnes autour du monde pour que les Holtzberg et les captifs de la maison Loubavitch soient sains et saufs. L’assassinat de son rabbin bien-aimé et de son épouse, l’a anéanti.
Les semaines suivantes, le docteur Prasad a décidé qu’il devait réagir à un acte aussi ténébreux et maléfique par une formidable action de bonté et de lumière.
Il y a cinq mois le docteur Prasad a quitté son prestigieux emploi et le confort matériel pour émigrer avec sa famille en Israël, dans un tout petit appartement de Kiryat Arba près de Hébron. Malgré la simplicité de la vie qu’il a du adopter en Israël, Prasad explique qu’il est aujourd’hui la personne « la plus heureuse du monde ».

Il dit : « Tous les jours mon cœur est rempli de joie et bat fort parce que je vis à côté de Hébron, deuxième ville sainte du Peuple Juif ».
Ce jeudi, sera un des jours les plus heureux de la vie de Prasad, un an exactement après l’assassinat des Holtzberg, le docteur épousera de nouveau sa femme, Rut Malka, cette fois selon la loi Juive, au tombeau des patriarches à Hébron. Leurs trois enfants, Shmuel (18 ans), Sara (15), Sharon (10) qui ont aussi accompli leur processus de conversion assisteront au remariage de leurs parents.

Le docteur Prasad tente d’obtenir l’équivalence de son diplôme de médecine indien, en Israël et espère commencer à travailler à la clinique de Kiryat Arba en même temps qu’à l’hôpital Shaarei Tsedek de Jérusalem, l’année prochaine.

(Yediot Aharonot)

 
   

VITE !!!

IL RESTE QUELQUES PLACES POUR

CE SOIR !!!!!!!!

 

 
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