Mercredi soir, à la veille des "7 jours", le Consistoire avec la Communauté de Levallois a tenu à rendre un hommage aux victimes de la bousculade mortelle du Mont Meron qui a eu lieu durant la nuit de Lag Baomer. De nombreuses personnalités ont exprimé leur émotion, parmi lesquelles S.E. Daniel Saada, Ambassadeur d'Israël en France, le Grand Rabbin de France Haïm Korsia, Joël Mergui, Président du Consistoire, le Grand Rabbin de Paris Michel Gugenheim, Francis Kalifat, Président du Crif, Ariel Goldmann; Président du FSJU et de la Fondation du Judaïsme, Elie Korchia, Président des CCJ92, Gil Taïeb, Président de l'ASI Keren-Or, David Weiss, Premier Maire Adjoint de Levallois et le Rabbin de Levallois Chalom Lelouche. Les chants du Hazan (chantre) de La Victoire, Aaron Hayoun ont ajouté à la solennité de cette cérémonie, qui s'est poursuivie par l'allumage d'une bougie et le rappel du nom de chaque victime.

Chaque semaine nos rabbins, nos maîtres nous envoient le message de la Paracha de la semaine. Aujourd’hui un élève nous en fait communication avec ses mots, car la transmission est la vocation du Talmud Torah du Consistoire.

Après un mois de confinement, nous avons décidé de proposer aux enfants une activité à la fois ludique et pédagogique*, en plein air, à l’occasion de la fête de Lag Baomer.  L’objectif était que les élèves donnent du sens à cette journée particulière, tout en se dépensant physiquement. Nous nous sommes donc retrouvés dimanche matin, parents et enfants accompagnés de l’équipe au complet, à l’entrée principale des Buttes-Chaumont et, une fois installés sur la pelouse, nous avons chanté ensemble la Téfila du matin.

Dans ce second livre sur la conversion au Judaïsme, l'auteur aborde de nouvelles questions : Existe-t-il des prédispositions morales nécessaires pour se convertir ? La conversion d'une personne non-juive en couple, le Mikvé, le tatouage et le passé ... Au-delà des problématiques concrètes mises en avant dans l'ouvrage, l'auteur propose également en trame de fond une réflexion générale sur le sens et la portée des conversions au Judaïsme.

« C’est de l’hébreu pour moi ! » Cette expression populaire marque bien le sentiment d’étrangeté que suscite souvent la langue dans laquelle est écrite la Bible. Pourtant, au même titre que le grec et le latin, l’hébreu est à la source notre patrimoine culturel et spirituel. Tel est le paradoxe que relève Julien Darmon, et qui le conduit à déconstruire les préjugés ancestraux pesant sur une langue réputée « difficile », lointaine parce que « sémitique », « langue morte » qui aurait été réveillée uniquement par le sionisme, etc.